Je suis désolé, je vais heurter les convictions musicales de certains. Mais quand j’écoute des morceaux de Grosfonk aussi exceptionnels, tout ce qui a été fait en musique sans un petit sample de funk me parait tellement pété, fatigué, nazebraque, le fait que ça existe me fait presque de la peine. La beauté du funk, c’est quand la mélodie se suffit à elle-même, pas besoin d’artifices genre demi-putes dénudées ou de chanteurs ane-onan (ce jeu de mots bénéficie d’une certification), c’est beau intrinsèquement.